Cette actualité a été publiée le 05/11/2009 à 19h58 par Michel WALTER.
Information transmise par Michel
PARIS - Les nanoparticules utilisées en médecine endommagent à distance l'ADN de cellules humaines, par delà une barrière du type de celles protègeant de nombreux organes, selon une étude qui relance le débat sur les risques des nanotechnologies.
Une équipe de chercheurs de plusieurs instituts de recherche britanniques, qui publie ses travaux jeudi dans la revue spécialisée Nature Nanotechnology, a testé l'effet à distance sur des tissus conjonctifs humains de nanoparticules de cobalt-chrome, qui servent notamment dans la fabrication de têtes de fémur pour les hanches artificielles.
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