Cette actualité a été publiée le 08/04/2013 à 12h51 par kannie.
À force de production de masse, la tomate a fini par perdre son goût. Une chercheuse de l'Inra raconte sa quête des saveurs oubliées.
PRODUCTION INDUSTRIELLE. Insipide, trop ferme, farineuse... Dans les années 1990, la tomate n'éveille plus le désir. Certes, les consommateurs peuvent désormais la trouver toute l'année dans les grandes surfaces. Certes, grâce à la mutation du gène RIN (ripening inhibitor), inhibiteur de maturation, des variétés comme la Daniela se conservent trois semaines au lieu d'une.
Mais dans ces corps lisses, high-tech et standardisés, les arômes, eux, sont en berne... Et les ventes, en baisse. A cette époque, Mathilde Causse, chercheuse à l'unité de Génétique et amélioration des fruits et légumes de l'Inra, voit débarquer dans son labo des sélectionneurs –les sociétés semencières qui produisent les variétés– inquiets.
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Un article de Cécile Dumas, publié par sciencesetavenir.nouvelobs.com et relayé par SOS-planete
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Le site étrange qui dérange même les anges !
Auteur : Cécile Dumas
Source : sciencesetavenir.nouvelobs.com
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