Cette actualité a été publiée le 02/12/2011 à 19h42 par Mich.
Pour traquer et réprimer ses opposants, Bachar al-Assad a fait appel à une société italienne qui a mis en place un système de surveillance sophistiqué. Coût de la transaction : 13 millions d'euros.
Pétrole, finance, logiciel et équipement de surveillance. L'Union Européenne a pris des nouvelles mesures de sanction envers la Syrie ce jeudi. Et, pendant ce temps, WikiLeaks publie des documents sur la surveillance internationale, attirant les regards sur les moyens donnés aux Etats pour suivre les mouvements des opposants aux régimes.
Qui a donné le pouvoir au président Bachar al-Assad de traquer, scanner et cataloguer les conversations et les mails des protestataires? Quatre entreprises, dont trois européennes, spécialisées dans ce type d'équipement, lui ont fourni du matériel de surveillance, détaille l'agence Bloomberg dans une enquête sur la surveillance sous le régime de Bachar al-Assad.
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Un article de Flavien Hamon, publié par lexpress.fr
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Auteur : Flavien Hamon
Source : www.lexpress.fr
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