Cette actualité a été publiée le 09/08/2009 à 14h38 par Tanka.
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Une commission parlementaire britannique a averti samedi le gouvernement que l'exploitation régulière par les services britanniques d'informations obtenues grâce à la torture pouvait être légalement considérée comme de la complicité, l'appelant à enquêter sur les cas douteux.
Dans son rapport annuel sur les droits et des devoirs de l'Homme, la Commission des Affaires étrangères de la chambre des Communes a jugé "impératif" que le gouvernement britannique remplisse ses obligations légales pour empêcher le recours à la torture.
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