Cette actualité a été publiée le 21/07/2013 à 07h56 par kannie.
Ce n'est pas vraiment une rumeur mais un fait : les crèmes solaires présentent un certain danger, et notamment une toxicité pour l'environnement et l'Homme.
On les accuse aussi de ne pas apporter une protection complète contre le soleil.
Quelle attitude adopter ? Quels sont les faits ? Faisons le point sur la crème solaire.
Pour le premier article de cette série sur la crème solaire, nous allons nous concentrer plus particulièrement sur les substances contenues par la crème solaire. Les articles suivants traiteront des dommages causés par la crème solaire à l'environnement, avant d'examiner les conséquences sur la santé plus en détail dans des articles à venir très prochainement.
Crème solaire : comme un poison dans l'eau
S'il paraît difficile à première vue de se passer de crème solaire, il est néanmoins important de ne pas se borner à une vision trop manichéenne sur ce sujet. Peut-on se passer complètement de crème solaire ? Probablement pas. Doit-on encourager systématiquement la crème solaire ?
Certainement pas non plus. Ce n'est une bonne chose ni pour l'environnement ni pour la santé.
Voyons d'abord de quoi la crème solaire est composée...
La crème solaire, un produit généralement huileux
La crème solaire peut avoir diverses compositions, selon sa fabrication. Comme souvent en cosmétique, il y a une nette opposition entre les crèmes solaires classiques et les crèmes solaires bio.
La crème solaire comporte en tout cas généralement :
Le produit doit adhérer à la peau et résister à l'eau, on sort donc les grands moyens côté chimie.
La crème solaire : chimie et compagnie
Sans être alarmiste, il faut néanmoins constater des faits inquiétants. Sans grande surprise, comme bon nombre de cosmétiques, la plupart des crèmes solaires contiennent des produits chimiques peu recommandables, communs aux gels douche et autres cosmétiques de ce type, souvent en crème.
L'OMC
Rien à voir avec l'Organisation mondiale du commerce. Il s'agit là de l'Octyl-méthoxycinnamate. C'est un composé organique servant de filtre solaire, et donc utilisé dans les crèmes solaires et aussi les baumes pour les lèvres.
Il est insoluble dans l'eau et est utilisé pour ses propriétés de filtration des rayons UV-B du soleil.
Il protège ainsi la peau des dommages causés par ces rayons, mais également réduit l'apparition de cicatrices. Jusque là, que du positif.
Une première étude en 2000 a été confirmée depuis par une autre de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Le rapport 1 explicite :
Des perturbations hormonales ont également été relevées par une étude américaine effectuée en 2011.
A noter qu'en France, l'OMC est à sa concentration maximale admise dans les produits solaires (10%). L'étude de l'Afssaps conclut qu'à dose classique, l'OMC « ne semble pas présenter un risque pour la santé des consommateurs dans les conditions prévisibles d'utilisation« .
Le 4-MBC
Il s'agit d'un dérivé organique du camphre utilisé dans l'industrie cosmétique pour protéger la peau contre les UV, majoritairement UV-B : 4-méthylbenzylidène camphre. Là, encore, on relève que la substance :
A noter que cette substance a été approuvée en Europe et au Canada mais reste interdite aux États-Unis et au Japon.
Le BP-3 – Oxybenzone
L'Oxybenzone est un composé chimique organique utilisé comme filtre ultraviolet dans les crèmes solaires. La substance a été testée comme :
Le produit est accepté en Europe et au Canada mais son usage est réduit au Japon.
Le Butyl 4-hydroxybenzoate ou butylparabène (BP)
Le butylparabène est un conservateur utilisé dans certains cosmétiques. Ont été prouvés par études :
Toutes ces substances ne sont pas considérées comme gênantes à un faible niveau selon les normes européennes, mais restent néanmoins à surveiller. Mieux vaut les éviter dès que possible.
La prochaine fois : Les substances que nous cache... la crème solaire (2) Comme un poison dans l'eau
Un article de Delphine, publié par consoglobe.com et relayé par SOS-planete
Ce sont les savants fous du CNRS les responsables de l'invasion
des nanoparticules d'oxyde de zinc,
qu'ils ont créées avec nos impôts
et revendues à tous les marchands d'ambre solaire de la planète !
SOS-planete les dénonce depuis 2010 !!!
Comment éviter de se retrouver avec des nanoparticules dans les produits que vous utilisez ?
Nanoparticules et cosmétiques : les conseils
Les ambres solaires sans nanoparticules existent
En vente dans les boutiques bio
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Auteur : Delphine
Source : www.consoglobe.com
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