Cette actualité a été publiée le 08/03/2012 à 20h24 par Jacques.
En 2001, l'Argentine était au bord du gouffre. Elle affiche aujourd'hui une croissance de 8 % par an. Roberto Lavagna, ministre de l'Economie argentin de 2002 à 2005, a été l'artisan de la sortie de crise de son pays. Pour lui, les plans d'austérité appliqués en Europe ne sont pas la solution.
COURRIER INTERNATIONAL Il y a dix ans, l'Argentine décidait de rompre avec le FMI, de suspendre le paiement de sa dette publique et d'imposer par la suite aux créanciers privés une réduction de plus de moitié de sa dette. La Grèce n'aurai-t-elle pas intérêt à faire de même ?
ROBERTO LAVAGNA Le programme économique grec est celui de la troïka [la Commission européenne, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque centrale européenne (BCE)] et non celui des autorités grecques. Il souffre d'un manque de légitimité. A contrario, dans le cas argentin, la première décision que j'ai prise comme ministre de l'Economie a été de refuser le plan récessif du FMI et d'appliquer un programme centré sur la croissance. C'était la condition sine qua non pour résoudre les problèmes internes mais aussi externes.
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Auteur : Rédaction courrierinternational
Source : www.courrierinternational.com
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