Cette actualité a été publiée le 20/07/2018 à 10h30 par Jacky.
De plus en plus populaires, les téléviseurs connectés, c'est-à-dire reliés à Internet, pourraient être la cible de cybercriminels, selon les spécialistes en sécurité informatique.
Des chercheurs ont déjà prouvé qu'il est possible de prendre le contrôle d'un téléviseur en piratant un réseau domestique et de détourner sa caméra intégrée et son microphone pour espionner son propriétaire. L'incursion permet en outre de prendre connaissance du contenu des disques durs et des clés USB reliés au téléviseur. Une autre méthode consiste à installer un «rançongiciel» (ransomware en anglais) sur un poste de TV Android, l'empêchant de fonctionner jusqu'à ce que l'utilisateur paie la rançon demandée.
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Une actualité de Didier Sanz, dénichée par Cédric, publiée par lefigaro.fr et relayée par Demain l'Homme ex SOS-planete
Note de Jacky : ah ! ah ! çà fait longtemps que la télé est sous contrôle ! Rien de nouveau sous le soleil. Alors là je me marre ! Payer une rançon pour que la télé fonctionne à nouveau, mais il y a de quoi se rouler par terre de rire.
Bon, on va peut-être moins rigoler là !
TV connectée : vers un contrôle
social permanent ?
20.8 milliards d'objets connectés en 2020
Comment j'ai piraté ma maison !
France : plus de 30 objets connectés
par foyer en 2020
Si j'avais su qu'on en arriverait là avec cette folie des objets connectés, j'aurais choisi une autre planète ;-)
Les leurs ont été déchiquetés par les
bombes. Accueillons-les dignement,
jusqu'à la fin du massacre
Première mondiale grave :
Attaque DDOS de Hackers
contre le serveur OVH,
grâce à un objet connecté
Coin détente de Marie-Line
Un homme en delta-plane, à 700 mètres d'altitude, croise une femme volant sur un balai : Oh ! une sorcière ! Non, répond la femme, j'étais femme de ménage à Tchernobyl !
Un homme se promenant près d'un lac aperçoit un individu dans l'eau, criant help ! help ! Il lui lance alors : "c'est idiot, t' aurais mieux fait d'apprendre à nager au lieu d'apprendre l'anglais !"
Auteur : Didier Sanz - lefigaro.fr